D'où vient ce conte ? Qui peut le dire?
Mais l'histoire est trop belle pour ne pas la répéter tant elle revient l'attitude Aïki qui cherche non seulement à plus de paix en soi mais aussi avec les autres et contribuer ainsi à un monde plus solidaire, dans l'écoute et le respect.
Un immense incendie ravage la jungle.
Affolés, les animaux fuient en tous sens.
Seul un colibri, sans relâche,
fait l’aller-retour de la rivière au brasier,
une minuscule goutte d’eau dans son bec,
pour l’y déposer sur le feu.
Un toucan à l’énorme bec l’interpelle :
“tu es fou, colibri, tu vois bien que cela ne sert à rien”.
“Oui, je sais” réponds le colibri, “mais je fais ma part”…
La morale de ce conte évoque le principe de kaizen ou politique des petits pas (ou changement graduel): "On peut toujours améliorer sa situation,
aussi dramatique soit-elle, en faisant ici et maintenant les petits pas qui sont à notre portée".
Le colibri a été choisi comme symbole du mouvement créé par Pierre Rahbi
[…] Curieux mouvement perpétuel de l’agression qui est en fait une spirale négative qui aggrave les choses jusqu’à la victoire espérée par KO. Je me pose, je me centre. J’ai pris le temps d’imaginer ce scenario n°1. C’est bon, j’ai l’effet escompté. J’ai senti le « Na! » qui aurait ponctué l’envoi de ma réponse. Si j’en avais besoin, je suis comblé. J’ai imaginé sa réaction, je me suis défoulé. Je peux reprendre pied dans la réalité. Et envisager autre solution: redevenir Aiki. Utiliser ce courriel pour pratiquer, pour améliorer mon équilibre. confirmer dans l’action mon engagement à contribuer par cette petite action, cet incident mineur, à changer le monde, localement, à mon niveau, tel le colibri. […]